Le mois du Taureau – Reconnecter notre vraie nature

Perrignier (Haute-Savoie). Photo prise par Philippe MANILLIER. et partagée sur le site https://www.ledauphine.com/

Bienvenue, mes amis, en ce premier jour du mois de mai !

Merci pour vos messages et votre intérêt pour mes petits billets sur les actualités lunaires ! J’ai chaque fois beaucoup de bonheur à découvrir vos témoignages. Je suis un peu décalée par rapport à la nouvelle lune car lorsque celle-ci a commencé son cycle hier, je dormais déjà à poings fermés. En effet, j’ai senti un besoin de ralentir et de profiter de la douceur de ce samedi de printemps, ce qui est dans l’air du temps: c’est la slow life* ! Ralentir le rythme, nous relier à notre propre horloge biologique est justement tout l’art de l’énergie du Taureau qui nous permet d’apprécier la vie en étant dans une vraie présence à soi, plutôt que laisser les contraintes extérieures sociales et économiques nous entrainer malgré nous dans une course contre la montre.

C’est ce que propose le ciel depuis que Uranus est entré dans ce signe, en 2018 en nous invitant à nous enraciner de façon plus consciente sur cette belle planète. J’ai commencé à l’expérimenter et cela ne me donne pas envie de recommencer à courir dans tous les sens pour me coller à l’heure de la pendule ou aux exigences du calendrier, car je sens une telle sérénité et une telle confiance intérieures que le stress du « conditionnement par le temps » ne m’attire plus du tout ! Suivre les rythmes du jour et de la nuit, ainsi que des cycles solaires et lunaires, est la vraie nature pour l’Humain comme pour tout ce qui vit, et retrouver cette authenticité du corps nous procurerait à tous un bien-être sans égal.

La Nouvelle Lune s’est produite à 10 ° du Taureau hier samedi 30 avril à 20h30 heure UTC soit à 22h30 pour la France. Le Soleil a été éclipsé, ce que nous ne pouvions pas observer ici puisque c’était la nuit, mais cela a son importance. Symboliquement, quand la lumière du soleil nous est cachée lors d’une nouvelle lune, l’éclipse agit ensuite au cours du cycle de lunaison comme un facteur de grandes révélations intérieures. Pour ma part je remarque l’importance des éclipses sur les phases d’éveil spirituel de l’humanité et leur impact pendant les six mois suivants.

Si, lors du cycle précédent nous avons émis des intentions et ressenti de nouveaux élans pour lesquels nous avons posé des actions (ce qui était le but du Bélier) nous pouvons désormais laisser les choses suivre leur cours et attendre que les circonstances amènent à maturation toutes les petites graines semées par nous, dans quelque domaine que ce soit. Il y a dans la succession des cycles lunaires quelque chose de magnifique et qui nous porte de façon fluide, du moins si nous ne tentons pas de contrôler l’extérieur et les événements… « Fluide » ne signifie pas l’absence de remous mais l’absence de résistance parce que nous trouvons du sens aux épreuves et leur laissons libre cours.

Le Taureau est une énergie de construction, de maturation qui a besoin, comme l’animal du même nom, de lenteur, de stabilité, de sécurité et de tranquillité et qu’on ne l’embête pas trop, car il n’aime pas les complications. D’ailleurs dans l’énergie du Taureau, nous pouvons observer qu’il nous faut un moment pour démarrer mais qu’ensuite on ne peut plus nous arrêter une fois que nous sommes lancés ! La Nouvelle Lune nous invite à nous reconnecter à Mère Nature, à retrouver également notre vraie nature en tant qu’êtres vivant sur cette planète, comme dit plus haut, à suivre notre rythme et à revenir au contact de la matière, de la terre, des réalités du corps dans l’ ICI et le MAINTENANT. Nous avons tous quelque part en nous ce Taureau qui nous demande de la conscience de l’espace et du temps, d’être réceptifs et à l’écoute de nous-mêmes avant d’être actifs et extravertis. C’est le signe de l’élaboration lente des situations qui demandent du temps, car c’est le vrai tempo de la Terre, nous réussissons à avancer de façon sûre dans cette énergie par la stabilité, la régularité, l’endurance, un travail soutenu même si le facteur durée est toujours en toile de fond. Donc mieux vaut temporiser une éventuelle impatience, qui risque bien de se montrer dans le courant de ce cycle, et qui nous conduirait plus facilement à des erreurs d’appréciation, voire des incidents de parcours..

Des remous il y en a et même beaucoup de vagues, avec de grandes tempêtes intérieures parfois ! Et de vraies inondations comme en Guadeloupe où le ciel a déversé des pluies diluviennes. Ce qui était un risque inhérent à la conjonction Jupiter Neptune en Poissons du mois d’avril. Nous pouvons nous attendre à des hauts et bas, des surprises, des contretemps et des imprévus, dedans comme dehors. La souplesse n’est pas une qualité du Taureau mais la compréhension et l’adaptabilité nous sont fournies par d’autres biais. Il y aura beaucoup de changements et de mouvements planétaires dans ce mois et nous sentirons bien ce qui se joue là haut ! Qu’on connaisse l’astrologie ou pas, la sagesse fondamentale reste de nous laisser porter par ce qui se présente à nous et quelles que soient les circonstances !

L’énergie s’accélère comme dans un tourbillon et il est avantageux de nous placer au cœur du cyclone pour ne pas nous laisser embarquer ou ne pas être blessés. Comment faire? Rester centrés sur nos buts, au quotidien dans les petites choses courantes, qui nous rassurent, nous pouvons ainsi mieux nous enraciner et nous ancrer c’est-à-dire nous concentrer (et bien sentir nos pieds sur le sol !) . Ce n’est pas égoïste 🙂 car il ne s’agit pas de demander aux autres de nous prendre pour le centre de leur monde mais c’est bel et bien un acte de courage de nous assumer; autrement dit c’est juste accepter de faire notre job ! 😉

Qu’est-ce qui nous dessert?

La résistance à ce qui est

Ce qui nous rend les choses difficiles ce sont des moments où remontent encore comme des bulles pas très agréables parfois, issues du passé et qui sont restées enfouies dans nos inconscients, ou des émotions qui nous contrarient parce que notre mental nous dit des choses dévalorisantes, ou bien il imagine des scénarios dramatiques de séparation. Dès que nous sommes à même de prendre du recul pour avoir une vision plus grande et observer tout cela comme comme des expériences que nos âmes ont choisies nous sommes sur la meilleure voie possible de croissance, mieux vaut leur faire face et les embrasser avec indulgence et bienveillance. Lorsque nous nous sentons encore bloqués, c’est peut-être que nous résistons à admettre la souffrance que nous gardons en nous ou bien que nous désirons nous soustraire à ces émotions désagréables mais tenter de nous en échapper n’est pas la bonne façon de guérir. Cheminer vers plus de douceur et d’écoute de nos besoins de calme, de paix, de joie intérieure, nous apportera ce mois-ci des pistes d’évolution plus créatives.

La fuite de notre responsabilité ou l’oubli de notre intégrité

Une autre source de tension pourrait venir d’une impossibilité que nous ressentons d’obtenir ce que nous voulons, limitations, retards et frustrations peuvent nous confronter, soit que des réalités extérieures empêchent les concrétisations, soit que nous-mêmes soyons trop nerveux, impatients et ne puissions gérer une forme d’instabilité à cause d’une personne et/ou d’une situation qui nous agace par son immobilisme. L’opportunité de cet aspect est de nous faire prendre conscience que nous sommes tournés vers le « dehors » ou vers la responsabilité de l’autre, au lieu de nous recentrer sur nous, dans le moment présent, d’user de notre libre-arbitre avec la potentialité d’assumer les circonstances et de les vivre en mode « apprentissage » plutôt que rébellion systématique. La rébellion contre la frustration est parfois une attitude de protection qui nous vient de l’enfance (et qui fut légitime à l’époque pour notre survie émotionnelle) mais à l’âge adulte, elle peut nous empêcher de tirer profit de la leçon que la vie nous propose.

Laisser notre mental vagabonder dans ses pensées erronées

Il est bon d’évoquer ici comment la pensée et les mots qui résultent de nos schémas conditionnés, peuvent être créateurs de bonheur ou de destruction. Ce matin, par exemple, j’étais à la caisse d’un magasin à attendre mon tour, paisiblement, en souriant dans ma tête (c’est souvent que je me raconte des petites histoires distrayantes pour occuper ma pensée) quand la personne devant moi s’est mise à me confier des pans de sa vie à grands renforts de critiques sur sa famille, son frère, (victime) sa belle-soeur (prédatrice). Je n’ai rien vu venir car j’étais  » dans la lune » mais tout d’un coup j’ai clairement senti que mon énergie intérieure, jusque là joyeuse, devenait plombée, j’ai aussi identifié le schéma d’une personne encore « endormie » et prisonnière de ses conditionnements, j’ai bien compris qu’elle n’avait pas idée qu’elle avait un pouvoir immense dans les mots venimeux qu’elle déversait au sujet des autres personnes et notamment le pouvoir d’entretenir en elle des énergies très dures et de dualité.. Aussi l’ai-je gentiment interrompue en faisant preuve de compassion et en enrobant mes propos de miel pour qu’elle s’apaise. Après avoir déclenché en elle un sourire (sans doute qu’elle s’est sentie accueillie) ce fut aussi beaucoup mieux pour moi que les instants d’avant où je me sentais prise à témoin d’une violence familiale qui n’est plus dans ma vibration. Cette conversation, attirée sans la solliciter, m’a montré en miroir où j’en suis moi-même de ma compréhension du pouvoir créateur des mots. Et comment j’apprends à utiliser ceux-ci avec plus de prudence et de délicatesse afin de ne pas rajouter du malheur au malheur. Y compris dans mes propres pensées quand je suis seule et que mon mental tente d’attiser en moi d’anciennes rancœurs qui sont aujourd’hui en voie d’apaisement ou qu’il se réfère à des situations déjà connues de moi auxquelles il assimile l’expérience d’aujourd’hui car notre mental s’en tient à ce qu’il connaît et à ce dont il se sert pour nous protéger depuis notre naissance.

Le mental est un merveilleux outil humain mais nous l’avons longtemps laissé (sans le savoir) prendre les commandes et nous entraîner sur des sentiers où les doutes nous limitent et nous paralysent. Désormais, comprenant que nous avons la charge de notre bien-être, de notre évolution spirituelle et émotionnelle, nous comprenons aussi la nécessité de faire un peu de ménage afin de cultiver une vision plus claire de nous-même, de notre valeur d’Humain au sein du plan Universel.

Nous ne sommes pas des marionnettes impuissantes et dépourvues de ressources. Lorsque nous nous trouvons submergés par des moments ou des situations complexes, les énergies de cette période sont favorables pour nous aider à nous élever au-dessus de la mêlée et pour observer avec sagacité les choses de plus loin, afin de retrouver notre pouvoir d’appréciation, juste et équilibré. Et notre Vrai Nous. Pas ce que nous avons entendu dire de nous, et pas non plus ce que nous avons cru sur nous. Rectifier les mots, en fonction de ce qui émerge de notre conscience maintenant, est une ressource très utile. La question à nous poser est: Suis-je sûr(e) que c’est VRAI?

Merci à Claude pour cette belle photo de la toile d’Araignée
Tous droits réservés https://claudid.piwigo.com/picture?/199/category/23-un_peu_de_tout

Qu’est-ce qui nous soutient?

Prendre notre temps

A l’image de cette magnifique toile, partagée par Claude sur sa galerie de photos , la Nature nous montre comment aller doucement et sûrement. Cesser de courir en tous sens à la poursuite de la montre, quel que soit le travail que l’on attend de nous ou que nous nous sommes fixé. l’efficacité vient ce mois-ci de la stabilité. Vers le 10 mai, nous sentirons le rythme aller plus vite. Mais cela ne signifie pas que nous devrions aller nous aussi plus rapidement, Au contraire, nous enraciner cela peut nous aider si nous avons tendance à être beaucoup dans le stress ou dans nos têtes (par exemple, nous calmer par la respiration, nous ancrer grâce à la danse, le chant, le yoga, le sport ou le retour à la nature et bien d’autres pratiques encore).

Nous nourrir de l’abondance terrestre

Nous nourrir des choses qui nous font du bien ce qui inclut l’alimentation bien sûr, mais aussi tout ce qui nous remplit de joie, de force et d’optimisme: Un loisir, une promenade, des rencontres, un bon repas préparé avec bonheur et partagé dans l’amitié ou dégusté en solo, tranquillement, un peu de jardinage, prendre un bain, etc. Tout ce qui nourrit nos sens et notre bien-être physique et moral en faisant ce que nous aimons, avec des personnes que nous apprécions..

Vivre la grâce

Vivre la grâce c’est voir la beauté en toutes choses. Écouter le chant des oiseaux, contempler le soleil qui s’élève chaque matin, la vie qui nous anime sans effort , avoir de la gratitude. Observer le bon côté des gens plutôt que ce qui nous dérange en eux…

Accepter l’humour

Ouvrir les portes à l’autodérision et la légèreté, pour ne pas rester coincés dans nos anciens drames affectifs, nous pouvons tout réparer avec de l’amour et des sourires.

Ne pas prendre parti

Ce qui ne veut pas dire ne pas avoir d’avis. personnel ou de préférence. Mais englober dans une vision unifiée les tenants et les aboutissants de toutes situations et les aborder avec prudence. Car l’âme du monde et l’âme de l’Autre ont aussi un Plan, une raison d’être, même si nous ne pouvons pas sonder les mystères de ceux-ci, c’est pourquoi nous ne pouvons pas, sans risquer d’y perdre notre lucidité, juger que l’autre est coupable ou qu’il a tort et décréter que nous seul détenons la vérité. Chacun est dans son programme et c’est respectable.

Prendre soin de soi et des personnes

Notamment des personnes qui nous sont secourables et fidèles et savoir laisser partir celles qui ne nous correspondent plus, ce n’est pas les rejeter ni les condamner mais faire le constat que nous ne sommes plus sur les mêmes longueurs d’ondes. Commencer à voir en quoi certains attachements ne nous permettent plus tout à fait de coopérer avec la vie pour le meilleur.

L’acceptation, l’accueil et même une forme de reddition

Sans tomber dans la résignation, admettre de se laisser porter souplement par les émotions, les situations et choses de nos vies fait partie du fameux lâcher prise, le premier pas vers le bonheur. Il nous faut du courage pour abandonner et renoncer mais c’est chaque fois un pas de géant de savoir « laisser tomber » , et surtout laisser la vie faire et se dérouler d’elle-même. C’est le non agir de la sagesse bouddhiste.

Nous relier à la Source

Prier, chacun à sa façon, se relier à la confiance dans nos guides, méditer… Lorsque nous sommes fermement établis en nous et stables dans nos corps, bien les pieds sur Terre, respirant et régulant notre fréquence cardiaque, nous pouvons recevoir davantage les énergies du Ciel. et reconnecter notre dimension Intérieure spirituelle, la Source qui coule en nous. Je l’ai évoqué dès le mois de mars, il y a une opportunité d’ouverture très grande de nos ressentis, nous sommes connectés si nous le voulons à bien plus grand que nous et ce courant qui élève notre vibration passe par l’amour, le pardon et l’élan du cœur pour un accès à la véritable compassion mais aussi par nos corps physiques. Séparer l’âme de l’ego ou personnalité est générateur de dualité et le Taureau, quoique signe de Terre, est très réceptif; même s’il est pragmatique il ne nous montre pas moins cette qualité vénusienne et féminine de sensibilité par le biais de notre corps et de nos cinq sens, mais aussi d’attachement dans la bienveillance simple et naturelle qui rapproche les gens par affinités.

Voilà quelques potentialités que nous offre le Ciel pour un bon début mai. Vous le voyez, il y en a beaucoup ! Mais cela nous demande un véritable travail de concentration car l’ambiance du monde ne s’arrangeant pas, il peut nous sembler anachronique de vivre une réalité sereine alors que des tas de catastrophes se produisent. Et pourtant, plus nous serons nombreux à vivre dans la conscience que la joie et le bonheur sont puissamment contagieux, et peuvent rayonner de proche en proche une chaleur guérisseuse, plus le monde que nous avons créé** va guérir de ses blessures.

Je vous souhaite à tous foison de petits bonheurs simples et naturels pour ce joli mois de Mai , réveillons-nous à toutes sortes de sensations et d’observations, à ce qui est doux, beau et nous permet de retrouver notre joie innée !

Michka

Pour finir je vous propose, si le cœur vous en dit, deux vidéos, à découvrir..


La vidéo de Julie dont j’apprécie la nature innovante et spontanée, ouverte sur les autres et le désir ardent d’avancer sur son chemin de croissance au travers d’une astrologie poétique de bon aloi.

https://youtu.be/meAHhp_C8_0

Et la vidéo de Jan et Olivia, dont la musique et la voix m’emmènent chaque soir dans des états de conscience modifiée et de profonde relaxation qui me permettent ensuite de dormir d’un sommeil régénérateur.

*slow life: littéralement « la vie lente », courant favorisant un mode de vie plus tranquille, un retour à la nature, aux choses simples, où prendre son temps est la priorité.

**Ce monde, nous l’avons créé collectivement, de façon non délibérée, par nos mécanismes anciens de pensées d’apitoiement sur nos conditions humaines, lorsque nous nous sommes coupés de notre Source et de notre cœur.

10 réponses

  1. Bonjour Michka, gratitude pour ce billet plein de bon sens et d’espérance, merci de nous redonner le goût de vivre et de continuer cette aventure qu’est la vie, beau mois de mai.

  2. J!étais en train de lire votre billet quand mon cell a sonné c!est quelqu!un
    que j!aime beaucoup qui m!appelait pour me demander de l!endosser
    pour un prêt. Cela m!a chavirée car mon coeur dirait oui mais je
    pense que cela me mettrait en danger. Dire non à cette personne m!est
    difficile. Je vais me donner du temps avant de donner ma réponse définitive et aller dans la nature pour me grounder et être en contact avec
    la beaauté et le calme de la nature.

  3. Merci Michka pour ce beau billet où tu livres très simplement ta sagesse, ton regard et où tu partages de merveilleuses pistes de vie à emprunter. Merci pour ce cadeau.
    Belle nouvelle lune à toi et à tous.
    De la joie et de la douceur

  4. Quelle sympathique surprise 🙂 Merci Michka, c’est chouette… Alors que je me repose d’une aprème passée à mettre au point la prochaine, plus et mieux courte et poétique, inspirée de la conjonction de jeudi du Soleil et d’Uranus !
    Quelle surprise en déroulant ton article, plongée dans tes pensées partagées… Très sensible à cette réalité du pouvoir des mots… Belle Nouvelle Uranus, jeudi, à toi 😉

  5. merci de tout coeur, Michka, que de ressources tu nous offres pour aborder ce joli mois de mai, elles vont m’être précieuses et me parlent fort. namasté.

  6. J’aime l’idée du compostage des mauvaises herbes pour un meilleur entretien de mon jardin intérieur et ainsi mettre plus de couleur dans ma vie.
    ouvrir tous mes sens à la beauté de mon âme me sied à merveille.
    Merci Michka pour votre beau partage

  7. Quel joli billet ! merci Michka, c’est toujours très inspirant ton regard, et replace les évènements et ressentis à leur juste place

Répondre à Salvia Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.