De quelle manière s’aimer ?

pour toi aujourd'hui

Voilà une question que beaucoup se posent! Comment faire pour s’aimer?
« Aime toi, la vie t’aimera »,  tel est le titre d’un livre de Catherine Bensaid*, qui dévoile le mécanisme de nos pensées négatives, enclenché depuis l’enfance et au-delà duquel la vigilance permet de nous réconcilier avec ce nous-même que nous décrions si souvent.
Soigner son cœur d’enfant blessé reste selon moi  le premier moyen de s’aimer.

Le livre de Catherine Bensaid: – neuf en format livre de poche: cliquer sur l’image:

Le site « Conversation Papillon » propose la conférence de Michel Poulaert, une présentation que je trouve particulièrement intéressante. Regardez cet extrait qui nous explique les choses et de façon claire: 

 

Il y a bien des façons d’apprendre à s’aimer, notamment quand nous acceptons d’être moins dans nos drames et dans notre histoire de vie mais plus  dans la contemplation de la créature divine  que nous sommes.Sur le site des Êtres de Lumière, Du Ciel à la Terre, j’ai trouvé justement cette façon là de nous reconnaître, et voici un court texte que je vous transmets ici,comme  une nouvelle piste de réflexion.

Belle méditation sur le sujet…
Comment vous aimer et de quelle manière vous aimer ?

Sur Terre, lorsque vous êtes amoureux, vous savez comment aimer l’autre ! Nous vous dirons donc de vous aimer de la même façon : soyez  amoureux  de vous-mêmes !

Au début, cela peut paraître insensé car vous pensez que vous ne pouvez pas être amoureux de vous-mêmes, que vous pouvez être amoureux de la vie, des belles choses, d’une autre personne, mais de vous-mêmes, comment est-ce possible ?

Nous dirons ceci : essayez de concevoir qu’au-dedans de vous-mêmes brille le merveilleux Être de Lumière que vous êtes et également votre Partie Divine, ce pur diamant. Comment ne pas être amoureux de cette partie de vous-mêmes que vous négligez ?

Les mystiques sont amoureux de Dieu ; certains Chrétiens le sont également. Ce n’est pas quelque chose d’insensé, ce n’est pas quelque chose que vous ne pouvez pas atteindre ! Ils ont simplement trouvé une clé et ils s’en servent.

Bien sûr, vous pouvez être amoureux de Dieu, mais lorsque vous considérez que Dieu est en vous vous pouvez aimer Dieu en vous aimant !

Vous ne pouvez pas savoir la joie profonde que procure le fait de s’aimer soi-même ! Encore une fois, s’aimer soi-même veut dire être amoureux de ce qu’il y a de plus beau en vous, être amoureux du merveilleux Être de Lumière que vous êtes.

Lorsque vous avez cette conscience, votre aspect extérieur n’a plus aucune importance, parce que vous percevez l’essentiel de ce que vous êtes et non l’enveloppe, l’habit !

A partir du moment où vous pourrez réellement aborder ce rivage de vous-mêmes, nous vous certifions que vous serez réellement en cinquième dimension et que vous vous y maintiendrez.

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

  • qu’il ne soit pas coupé
  • qu’il n’y ait aucune modification de contenu
  • que vous fassiez référence au site  http://ducielalaterre.org
  • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

Annales akashiques sur le romantisme et les âmes-sœurs

peynetL’amour étant toujours au centre de mes apprentissages, je trouve passionnante la publication des Annales Akashiques concernant l’amour romantique et particulièrement en cette période autour de la Saint Valentin où on fête les « Amoureux »…Cela donne matière à réflexion et cela semble  tellement juste!

Voici ce texte:

« L’attraction sexuelle est-elle parfois si puissante qu’elle peut être trompeuse ? Comment peut-on savoir si une autre personne est « la bonne » pour entamer une relation amoureuse avec elle ? Comment pouvons-nous savoir si quelqu’un est vraiment énergétiquement et spirituellement en accord avec nous ?

La réponse à cette question réside dans un net changement de perspective, car aussi longtemps que vous recherchez des informations sur cette personne ou que vous essayez de découvrir quelque chose sur cette personne, vous allez continuer à vous sentir perplexes à ce sujet. La réponse réside dans le retournement de votre attention vers vous-même. Au lieu de poser ces questions : est-ce la bonne personne pour moi ? Cette personne me correspond-elle bien ? Cette personne est-elle véritablement fiable ou non ? Posez une question différente.

Arrêtez d’essayer de savoir qui est l’autre et tournez plutôt votre attention vers vous-mêmes pour vous poser ces questions : qu’est-ce que j’espère qu’elle sera ? Pourquoi suis-je attaché à cela ? Qu’est-ce que je cherche chez d’autres personnes qui n’est pas encore accompli à l’intérieur de moi ? Qu’y a-t-il chez cette autre personne qui me signale de réparer, ou de guérir, certaine partie blessée de ma psyché ?

Fondamentalement, vous créez tous des liens inappropriés avec d’autres personnes en fonction de ce que vous n’êtes pas encore capables de comprendre, ou de guérir, ou de réparer à l’intérieur de vous-mêmes (et la plupart d’entre vous ont ce problème à un moment ou un autre, il n’y a donc rien de mal à ce que vous fassiez cette expérience). Souvent, ce que vous ressentez comme attraction est en fait l’attraction magnétique en vue de combler ce qui est cassé ou vide à l’intérieur de vous. Tant que c’est cela qui vous attire, vous découvrirez que vous continuez à être attirés par des personnes qui, finalement, ne sont pas bonnes pour vous. Elles ne sont pas bien adaptées à votre soi spirituel complet. Elles sont bien adaptés au trou, au vide qui est à l’intérieur de vous.

En cherchant à comprendre cela, arrêtez de vous poser des questions sur l’autre. Arrêtez de penser autant à l’autre. Retournez plutôt la question vers vous-mêmes pour vous demander ce qui, à l’intérieur de vous, a besoin d’être guéri ? Qu’y a-t-il en moi qui est attaché à une idée de ce que cette autre personne pourrait être, ou pourrait devenir ? Si vous commencez à aborder ces questions, vous entrerez sur un chemin de guérison beaucoup plus difficile, parce que vous serez vraiment aux prises avec les parties blessées à l’intérieur de vous, plutôt que d’essayer simplement de les fuir en vous liant à quelqu’un d’autre. C’est un chemin beaucoup plus difficile, mais c’est le seul qui vous mènera à devenir entier, à vous responsabiliser et par conséquent à vous permettre d’être attirés vers des personnes énergétiquement en bon accord avec vous. La seule manière de vous en sortir est de vous retourner pour commencer à travailler sur les parties de vous qui s’attachent exagérément à d’autres personnes. »

Tiré du site d’Anne Duquesne en 2013 qui l’a traduit de d’Akashic Transformations

Je vous souhaite beaucoup d’amour romantique ou pour vous même et une douce journée.

Michka

Comment se libérer des attachements

Une petite dose de rappel pour Françoise, mais aussi pour tous ceux qui, comme elle, ont perdu le chemin d’accès à cette précieuse méthode des « Petits Bonhommes Allumettes » … et pour tous les nouveaux lecteurs qui vont la découvrir ci dessous.

harnais…Nous le savons bien : nos attachements sont des chaînes qui nous enferrent à notre passé, nos douleurs et nos désirs. Aimer vraiment sans retenue (aux deux sens du mot), profiter de ce qui se passe sans arrière-pensée, avec la certitude que nous ne manquerons jamais de rien, voilà un rêve commun. Mais l’attachement à un résultat, l’attachement à une peur ancestrale de perdre ce que nous avons, y compris un amour,  l’attachement à rester dans le connu, l’habituel, le sécurisant, etc. tout cela va à l’encontre de notre libération et conforte notre croyance en l’illusion que nous montre l’ego, cette confusion dans laquelle il nous maintient et qui est tout sauf de l’amour, tout sauf la liberté…

Voici donc ci-dessous deux vidéos qui montrent un exercice concret, ludique et facile, appelé « les petits bonhommes allumettes »  et dont la description est faite par Jacques Martel (l’auteur du célèbre livre « le grand dictionnaire des malaises et des maladies » et  de « Atma, le pouvoir de l’amour ».

Essayez, c’est  simple, court et très puissant. Je l’ai moi-même pratiqué pour me libérer de liens qui me retenaient dans une forme de chagrin languissant, sans que rien ne me soit possible concrètement pour réparer une relation qui s’était « mal finie » ni des malentendus familiaux persistants pour lesquels je me sentais coupable. Bref,  de ces situations où tout a déjà été tenté de ce que nous pouvons faire pour rétablir l’harmonie mais dont une partie reste génératrice de peurs ou de regrets ressentis de façon diffuse sans toutefois pouvoir nous en séparer réellement, ni les guérir car c’est inaccessible ou trop enfoui dans notre inconscient

Comme nous sommes UN je crois qu’il est essentiel que chacun de nous fasse du mieux qu’il peut pour se libérer, ouvrant ainsi une brèche de liberté pour l’ensemble.

Avec toute ma tendresse,

Michka