Bonjour à tous,
Récemment, j’ai expliqué sur ma page Facebook que j’avais fait une expérience assez désarmante puisque j’avais « réussi », de façon involontaire, à supprimer de mon ordinateur mon logiciel d’astrologie, acquis l’an dernier (aucune copie ni même la trace de ma licence) donc impossibilité totale de le réinstaller !
Et, le lendemain, j’exprimais que (assez bizarrement) je me sentais super zen alors même que je n’avais plus accès aux centaines de thèmes que j’avais calculés en dix-huit mois et que j’étais là comme une spectatrice qui attendait le dénouement d »une histoire à suspens ! Et c’est tout-à-fait vrai, je me suis sentie comme quelqu’un qui vient de faire un tonneau avec sa voiture et qui se dit « Ouf ! Rien de grave ! » (Euh ! Oui, ça aussi c’est du vécu, je suis la reine pour me faire des grandes frayeurs !)
Le partage de cette récente expérience « d’acte manqué » qui m’a dépossédée d’un outil informatique que j’utilisais à temps plein, a suscité bien des commentaires, bienveillants et très intéressants, au sujet de cette perte : des conseils pour retrouver le logiciel que j’ai désinstallé « par erreur », des conseils pour me sentier mieux, mais aussi de l’admiration pour mon attitude partagée comme positive et curieuse de la suite des événements…
J’ai ainsi été édifiée par ce que j’en ai ressenti comme révélation: le manque se manifeste dans beaucoup de réponses. Or je n’exprimais pas le manque mais j’évoquais une expérience de la perte vécue comme une utilité, une opportunité ou un gain à venir.
D’où ma profonde réflexion sur le manque et sur l’abondance.
Je vois à quel point le monde tourne autour du manque et cette révélation devient pour moi une évidence! Alors que la vie n’est qu’abondance tout le temps, la plupart des Humains ne voient et ne vivent dans leur état d’être que le manque: le manque de santé, le manque d’argent, le manque de moyens et ce n’est pas seulement le manque matériel, c’est le manque de foi en la vie, le manque d’amour de la vie, le manque d’amour de soi, le manque de responsabilité de soi… tous ces manques s’infiltrent partout, je ne m’en étais jamais aperçu aussi crûment ! C’est un des points les plus positifs de cette expérience: je vois à quel point je vis dans l’abondance d’enthousiasme et de foi alors que plein de gens vivent dans la peur du manque, celle-là même qui ATTIRE LE MANQUE.
Il m’apparaît aussi la même chose pour l’amour: Lorsque nous sommes jaloux ou avons le sentiment d’être privées si l’élu(e) de leur cœur passe beaucoup de temps ailleurs ou avec d’autres personnes. Mais pourquoi sentons-nous alors un manque d’amour sinon par une incapacité à nous connecter au flux permanent d’amour qui circule à travers nous ? Ce n’est pas une denrée limitée, l’amour. L’amour que l’autre se donne en suivant ses désirs le rend heureux et il reste ainsi cette personne bienveillante qu’il désire incarner et qui aime faire du bien autour de lui.
J’entends assez souvent: « vous avez bien de la chance ! » et je dis non, ce n’est pas de la chance, c’est « un choix d’état d’être » que chacun se doit de faire pour lui-même. Les faits de ma vie prouvent que je n’ai jamais eu spécialement « de la chance » mais ma position intérieure a toujours été de « croire que j’en aurais » et la vie a répondu à ma croyance en me prouvant que j’avais raison de chercher et de trouver du sens aux choses difficiles ; mais aussi raison de cheminer de façon confiante car je suis en écoute ouverte de toutes les réponses de la vie, de tous les signes, de toutes les pistes… Et en plus, j’ai du culot, cette audace insolente des naïfs qui ne savent pas grand chose mais qui ont gardé leur crédulité d’enfant et qui ne se censurent pas. C’est ainsi que j’ai pu avancer sans retenue, parce que je n’ai pas la croyance que la réussite dépende des possessions ou même de l’extérieur mais j’ai l’intime conviction que la réussite dépend d’abord de la passion et de l’enthousiasme que je mets à réaliser mes ambitions. Donc lorsque j’ai voulu passionnément quelque chose je l’ai attiré à moi de façon toujours étonnante et défiant toute logique et les calculs de probabilités !
Nous gagnons à regarder nos croyances quand nous manquons de joie et d’amour autant que d’argent ou de santé. Je ne prétends pas que cela ne me soit jamais arrivé mais j’ai observé que cela se résolvait quand je me projetais dans le désir passionné de créer ou d’acquérir quelque chose ou d’entrer en relation avec quelqu’un.
Je crois que la culpabilité sous-jacente d’être heureux et prospères nous limite beaucoup; il me semble que nous restons ancrés dans l’idée que ce serait moche d’être dans l’exultation et dans la jouissance exubérante alors que ce monde est plein de souffrances et de privations ou de précarité.
Je vois des personnes se sentir obligées d’aider les autres à se sortir de leurs miasmes et, du fait même, se trouver toutes sortes de bonnes excuses de descendre leur propre niveau d’énergie et vider leur réservoir de joie.
Je vois d’autres personnes cultiver dans leur communication les choses les plus noires de ce que les autres véhiculent ou ce que les médias répandent comme un fiel brûlant et ainsi à leur tour, ces personnes arrosent leur entourage de leur mauvaise humeur et de leur peur.
Je vois à quel point nous avons tort de nous acharner à critiquer et à vouloir changer le monde: C’est prendre la pièce à l’envers. Lorsque nous recevons et utilisons les ondes positives et d’amour, de joie, d’abondance que la vie nous envoie EN PERMANENCE, cela n’enlève rien à quelqu’un d’autre, et inversement, ce n’est pas d’être malheureux et de nous lamenter nous-même que cela va aider le monde à aller mieux.
En fait, plus nous nous ouvrons à recevoir, plus nous remplissons notre réservoir intérieur d’amour et de paix, de joie et de chaleur, et plus nous disposons de ressources pour aider et aimer les autres sans rien faire de spécial que rayonner par notre simple sourire, par notre présence, par notre attitude. Les bonnes nouvelles sont comme les mauvaises : elles se répandent très vite ! Qu’avons-nous envie aujourd’hui d’offrir de nous-même au Monde ?
Bien sûr, tout ça, vous le savez déjà ! Mais qu’en faites-vous? Le mettez-vous en pratique chaque instant? Revenez-vous toujours à vous avec la foi en la vie, pensez-vous sans arrêt à vous nourrir à la Source? Vous placez-vous toujours en priorité et êtes-vous assez heureux pour utiliser concrètement la loi de l’équilibre entre donner et recevoir?
La vraie question est : Etes-vous prêt (e) à co-créer avec la Vie du bonheur et de l’abondance sans limite pour vous, afin que vous puissiez inspirer les autres par votre succès et votre joie? Plus vous êtes heureux et généreux de ce rayonnement qui vient du cœur dans la jouissance de ce que vous faites et qui vous êtes, plus vous devenez une source d’exemple vers le bien-être pour les autres, souvenez-vous que c’est par le rayonnement confiant qui émane de vous et nos par vos privations que vous aiderez vos proches et le monde.
Je vous souhaite une belle journée, mes chers amis ! La vie nous aime… Tous !
Merci pour la photo ci-dessus qui m’a été offerte par Marie-Chantal dont le jardin est l’expression même de l’abondance !
Michka
23 Responses
Bonjour chère Michka,
Que de gratitude envoyée chaque jour à l’Univers pour l’abondance d’AMOUR et de chaudoudous que je reçois. La vie nous aime et sait nous envoyer des signes afin que nous arrivions à dépasser nos craintes;
Mille fois merci à vous encore une fois tout sonne très juste.
Belle journée à vous.
Marie
Bonjour l’univers, peux tu m’envoyer exactement tout ce que contient le texte de Michka, c’est absolument ce que je souhaite du plus profond de mon coeur. Merci de tout ce que j’ai et de ce qui va venir…. Je fais de la place !
Tendresse ma douce ….
C’est dans la Bible: « J’ai placé devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives » (Deutéronome, 30)
Je vous rejoins complètement, j’ajouterai que c’est l’apprentissage de toute une vie, tant ce n’est pas une attitude naturelle pour la plupart d’entre nous, conditionnés à culpabiliser. S’en libérer est tout un cheminement, mais comme il en vaut la peine: à chaque instant choisir de vivre le meilleur, y compris -surtout – dans les moments difficiles
Et goûter pleinement tout ce qui nous est proposé, offert, en ouvrant nos mains et notre regard
bonjour
tout ce que vous avez écrit est intéressant et tellement juste, le manque cache le meilleur de nous, quand il arrive, plus rien n’existe et nous avons intérêt de garder le lien avec ce que nous avons de merveilleux dans le coeur
j’ajouterais si vous le permettez que l’auto dévalorisation favorise nettement le manque, il le programme, il le génère, il le développe, alors reconnaissons nos qualités , valeurs et capacités pour garder le cap
si chacun , dans sa propre maison, dorlotait la bienveillance et la tendresse, en serions-nous là ?
Merci MICHKA, c’est magnifique, et en plus, j’en avais bien besoin!!!
Avec infinilent d’amour et de gratitude, belle journée à vous,
Stéphanie
Merci Michka!
La force de votre texte est considérable et délicieuse!
Oui, recevoir est bien la chose la plus difficile…
C’et à dire être dans cette part de féminin, qui accueille la grâce!
Et par peur, et manque de confiance, nous ne recevons plus, alors nous prenons. et c’est cela qui est valorisé dans nos sociétés prédatrices…
Quel gâchis!
Dans abondance il y a « danse »!
Alors danser avec l’infinie générosité de la vie, comme vous nous le rappelez!
Parce que c’est bon.
En vous souhaitant une riche et belle journée!
Jean Pierre
L’ance de notre panier intérieur est donc bien tenue par nous, faisons notre marché, remplissons le et laissons le se remplir de beau, de bon, de bonheur à partager…Que ça abonde joyeusement comme une cascade de milliards de gouttes d’abondance bienveillante
Merci Michka
C’est exactement ce dont j’ai besoin à tout moment : Michka relance la roue qui tourne et comme les jeux dans les foires ou kermesses la roue finit par s’arrêter sur le A comme Abondance. Merci pour cet acte de foi et d’optimisme, les roses du jardin préparent leur deuxième floraison!
Merci pour votre billet, c’est pile bien ce que j’avais besoin de lire 🙂
Merci, Michka, de nous d’écrire tes expériences et tes réflexions. Cela me donne des pistes pour réfléchir et avancer!!! Merci encore. Amitiées
Bravo Michka pour ce partage énergique.
Merci. Mais finalement, ce logiciel revenu ou non ? 😉
Plein de bises et du soleil dans le coeur.
Merci Michka de partager votre expérience… c’est une bien belle preuve d’amour et de bienveillance … Merci pour toutes ces ondes positives que vous envoyez et que vous nous invitez à partager
nous aussi !!
Amitié Annick
Bonjour Michka et Merci. Ton article tombe à pic. Merci ❤
Merci et remerci ! Vous lire, Michka, est toujours un plaisir, vos textes d’une douceur forte, d’une simplicité ancrée dans l’authenticité, sont nourriture précieuse. Je partage pleinement celui de ce jour……. mais pas toujours ! Là où je suis très en difficulté, c’est lorsque la douleur physique devient intense au point d’envahir tout le champ, d’interdire tout sommeil, toute activité… certes, je rends grâce pour tous les moments où cela va bien, mais au cœur de la douleur, j’avoue que je suis quelque peu en panne !!!! Sans aucun doute y a -t-il parmi vous tous et toutes des personnes qui vivent cela et peuvent me « conseiller », m’éclairer… Mille mercis en tout cas, à vous, à la Vie !
Chère Christiane, je connais une douleur comme vous décrivez, qui vient et s’installe comme chez elle . C’est la douleur de la migraine mais elle crée dans tout le corps un tel désordre qu’elle envahit vraiment tout l’espace . Elle s’approche doucement avec son cortège de symptômes: nausées et dégoût pour les odeurs (notamment celles de nourriture) et souvent même, le cortège la précède, et je ne suis pas fière ni forte car ça fait renaître la mémoire du corps, celle de » la dernière fois » ou de tous ses précédents passages. Il y a toujours la première heure, ce moment de peur, de résistance, de rébellion, c’est instinctif. Quand j’étais jeune j’avais du mépris pour cette faiblesse que représentait à mes yeux la maladie et donc la migraine.
En prenant de la maturité j’ai appris à décrypter mes crises de migraine, donc à comprendre le sens de mes crises de migraine et à repérer que plus je résistais et plus elles duraient, maintenant je les vois venir et à les accueillir. Aussi ne durent-elles plus que trois ou quatre jours et trois ou quatre nuits pendant lesquels je me place dans la reddition totale, je décommande sans hésiter tout ce que j’ai prévu, rendez-vous, travail, visites familiales ou amicales et je coupe mon téléphone, je ferme ma maison et je me couche, j’ai à « vivre ma migraine » et je sais que ça va durer entre trois et cinq jours. Puisque cette maladie a du sens, qu’elle me parle de ma vie, de mes excès, de mes choix erronés, c’est ma façon de les assumer. Lorsqu’elle vient, je m’autorise à être hors circuit, « là pour personne », c’est très invalidant et je ne peux ni boire ni manger, à peine me lever pour nourrir le chat. J’y perds ma force et ma dignité mais l’acceptation a été ma grande révélation. La douleur envahit tout et je me laisse enfoncer dedans, couler dans la migraine, je me rends à ses coups lancinants, à ses vrilles, plus je m’abandonne et finalement moins je souffre car je me laisse faire Le sommeil me gagne justement quand je fais ça car je tombe dans une sorte d’inconscience, la douleur est trop forte pour que je la supporte. L’épuisement fait que je ne sais même plus où j’ai mal tant j’ai mal. Voilà donc mon secret s’il en est un : la reddition. Ce n’est pas forcément facile mais chez moi cela écourte la durée des douleurs et surtout leur impact dévastateur pour mon moral. Et ensuite la vie reprend son cours… jusqu’à la prochaine fois!
Merci beaucoup pour cet article qui resonne en moi!!! ❤
Bonjour Mishka
Première fois que je tombe sur votre blog. Magnifique! ce n’est pas un hasard, je le sais…
De nouveau au chômage, je viens juste d’essuyer une déception quant à un job potentiel dans lequel je croyais et dans lequel je m’étais beaucoup investie; ma confiance chancelle et j’ai de nouveau peur , peur de manquer, peur de ne pas retrouver de travail, peur de ne plus pouvoir vivre correctement ….. la même peur qu’il y a trois ans quand j’ai perdu mon job à …55 ans. J’ai pris n’importe quel travail pour ne pas rester au chômage sans rien faire, mais cela a été un calvaire car mal payée et surtout malmenée et maintenant à 58 ans… me revoilà chômeuse alors que je suis diplômée et expérimentée! Je me dis que l’abondance est là, qu’il y a un job pour moi bien rémunéré qq part , que c’est une question de confiance ….je me visualise travaillant et donnant le maximum dans mon boulot mais j’avoue que ‘est un peu dur!
Merci donc pour tous vos beaux textes et encouragements…
C’est rassurant, régénérant et illuminant.
Bonjour Corinne, bienvenue sur mon blog. Je comprends très bien ce que vous décrivez et cependant la peur cède quand on l’accepte comme un message: « Que me dit ma peur? Qu’est-ce qui me ferait du bien? »
Dans votre commentaire vous répondez « un job pour moi bien rémunéré quelque part » et si ce n’était pas « un job » votre besoin pour ne plus avoir peur de manquer mais un état de bien-être intérieur dont vous CROYEZ (comme il y a trois ans) que seul un travail pourrait vous l’apporter?
Et si la vie en nous apportant la peur insistait plutôt pour nous permettre de revoir la croyance qu’il faut travailler pour avoir de l’argent et pour se sentir en sécurité?
La sécurité est un état intérieur, aucun travail ne peut l’apporter, même un portefeuille bien garni ne peut l’apporter si, en parallèle, nous n’avons pas résolu ce problème de confiance. Le souci est donc derrière la peur, derrière le manque, de faire confiance à la vie sans poser les conditions. De nombreuses personnes n’ont pas de travail et pas d’argent mais sont joyeuses d’être en vie, d’avoir la santé et un toit sur la tête, elles font confiance à la vie pour subvenir à leurs besoins par l’intermédiaire de la communauté ou par des moyens que le mental limité n’a même jamais envisagé. Elles donnent de leur temps pour les autres dans des associations et reçoivent en retour toute l’aide dont elles ont besoin. Ou bien elles cultivent un bout de jardon collectif dans leur ville et participent ainsi à l’abondance en étant reconnues et appréciées. Ainsi, Christiane, regardez bien en face cette peur et n’essayez pas d’y mettre fin sans l’avoir accueillie comme une maie qui vient nous donner des nouvelles de notre météo intérieure. Car votre réponse n’est (je le crois) pas dans le fait de donner un maximum dans un travail, (vous l’avez déjà fait et vous n’avez reçu que maltraitance car vous vous êtes maltraitée) mais d’utiliser un maximum pour vous l’énergie de joie qui vous habite. La confiance vient de la joie et du cœur pas de nos actes forcés. Vous êtes à l’âge (à partir de 55/56 ans) où il est bon d’ envisager la suite de sa vie sans le travail, la vie intérieure et la vie spirituelle prennent de plus en plus de place – on arrive à une époque de bilan. Vous pouvez aussi demander à l’univers de vous apporter simplement tout ce dont vous avez besoin (pas forcément l’argent pour l’acheter) en laissant faire la vie qui sait mieux que nous ce que notre âme veut expérimenter. Parfois on voit des situations inattendues: la rencontre d’une personne fortunée qui a besoin de compagnie, l’insertion dans une communauté qui cherche une personne pour gérer une petite activité en échange du gite et du couvert, la découverte d’un groupe de loisirs où on se fait des amis secourables et qui ont des bonnes idées et des bonnes adresses etc. La vie a tellement de ressources que l’humain dans ses croyances limitées, ne connaît pas !
Bonjour Michka,
Chacun de vos messages est rempli de foi et de gratitude, merci pour votre bienveillance et votre partage.
Je lis quotidiennement les pensées d’Omraam Mikhael Aivanhov et celle du 5 juillet est en harmonie avec votre message, je me permets de le transmettre :
Tous les jours on entend répéter : « Ah ! dans quel monde nous vivons !
On ne voit qu’égoïsme et malhonnêteté ! C’est toujours l’injustice qui triomphe? Quoi qu’on fasse pour améliorer la situation, on n’y arrive jamais. » Tant de gens aiment ces pensées négatives, et ils les invitent sans cesse à leur table : « Venez, venez, il y a ici de la nourriture pour vous? » Eh bien, cette attitude est très dangereuse : en soulignant sans cesse le mal, en ayant continuellement son attention concentré sur lui, on ne l’affaiblit pas, au contraire on l’encourage, on le renforce.
Alors, désormais, c’est le bien qu’il faut encourager en disant : » Venez, anges et archanges… venez, esprits célestes… Donnez-nous votre sagesse, votre amour, votre puissance, afin que chaque jour nous soyons capables d’apporter quelque chose de bon sur la terre. »
Notre mental nous emmène sur des chemins de souffrance pour se nourrir, mais nous avons le choix, à chaque instant, de voir la beauté, l’amour, l’abondance et ainsi de rayonner notre être de Lumière.
Encore merci, très bonne journée à TOUS, je vous embrasse.
Michka, merci beaucoup pour ce billet lumineux rempli de gratitude et de sagesse afin de nous aider dans notre choix d’état d’être malgré toutes les préoccupations du quotidien. Merci, merci, merci, belle fin de semaine – bien chaleureusement, Hervé
Bonsoir Michka,
Comme cette réflexion sur l’abondance et son opposé sous toutes ses formes sonnent tellement juste à mon oreille !
Je partage absolument votre vision des choses et vous remercie de nous rappeler de faire un pas en avant vers l’acceptation quand certaines choses semblent ne pas se passer comme on l’aurait souhaité.
Je me retrouve assez dans votre constat de : « naïfs qui ne savent pas grand chose mais qui ont gardé leur crédulité d’enfant et qui ne se censurent pas. » C’est une très belle formule pour décrire une part de ma personnalité dont je n’étais pas particulièrement fière jusqu’à aujourd’hui ! Merci de me faire voir ce « manque » (ahah ! ), cet auto-censure sous un nouveau jour, un autre angle, chère Michka !
Très belle soirée à vous et merci pour ce partage édifiant !
Que le meilleur soit pour chacun de nous à la mesure de nos besoins et de notre évolution.
Je lis dans tous ces messages de la bienveillance, de l’amour, de la joie. Le message de Corinne et votre réponse Michka fait écho au moment actuel de ma vie 58 ans, une autre perte d’emploi, un grand garçon de 26 ans qui fait sa vie mais qui a encore besoin de maman certaines fois, un sentiment de solitude et une envie de me connecter à autre chose de plus vrai. Merci pour ces jolies roses
Le debut de votre message m’a fait sourire Michka , moi c’est mon cmpte Facebook que j’ai desinstaller par erreur, evidement par rapport avotre logiciel la perte est moindre. Mais j’avais dessus quelques amis precieux avec lesquels j’echangeait régulièrement .N’etant pas une » geek » confirmée loin de là je rame un peu pour remettre tout ça en route.
Mais comme vous je me suis demandée pourquoi cette experience que j’ai créé arrivait maintenant .jen’ai pas encore toutes les reponses mais je pense qu’il est temps pour moi de mettre en pratique toutes ce choses apprises sur les differends sites auxquels j’etais abonnee.
Trop d’abondance ( dans certains domaines ) peut nuire.apprendre c’est bien mais pratiquerc’est mieux.
Voila j’en suis là de ma reflexion . J’aime beaucoup vous lire Michka et je vous remercie pour le partage de toutes ces reflexions tellement utiles . Avec plein d’amour. M.F