Aimer et se sentir bien

onagreBonjour mes amis,

Il y a peut-être des moments encore où nous cheminons avec la pensée que notre vie n’est pas si satisfaisante que nous le voudrions ou l’intime conviction que nous devrions faire quelque chose pour changer ce qui ne nous plaît pas, pour améliorer notre santé,nos relations, notre quotidien… Pour beaucoup d’entre nous, il est probable que nous ayons déjà passé pas mal de temps à essayer de comprendre, à tenter d’appliquer des recettes et techniques pour aller mieux et à avoir fait d’énormes efforts,il se peut aussi que nous ayons désiré  « travailler dessus » pour tenter de nous libérer de nos souffrances, comportements erratiques et devenir simplement heureux. Désormais nous entendons de plus en plus, par ci par là, que la joie et l’amour sont nos dons de naissance et que notre liberté est un droit que nous n’avons pas à conquérir, que nous le possédons déjà. Mais nous n’avons pas forcément la clé pour autant car nous continuons à fonctionner sur nos anciennes façons de penser, en nous appuyant sur nos dévalorisations personnelles, nous restons accrochés à des histoires anciennes datant de l’enfance qui pourtant ont été analysées et décryptées, décodées de multiples façons.

Force est de constater qu’il n’y a pas une seule manière d’y arriver mais autant de façons que d’êtres humains, il n’y a pas de vérité unique, de méthode infaillible mais autant de pistes et de chemins que d’individus. C’est pourquoi la seule chose qui nous soit réellement commune, la seule vérité spirituelle qui puisse éclairer le monde pour nous c’est l’Amour. Tous , nous sommes traversés et animés par la même Source de Vie et d’Amour mais ceux d’entre nous qui ont choisi de porter la lumière ont besoin d’être en contact permanent avec la Force de l’Amour et de la Joie. Faute de quoi, les énergies de l’ombre viendront facilement les déstabiliser, les attaquer et anéantir leur élan d’éveil.
Que faire de plus alors? AIMER sans condition et accepter l’autre, surtout quand il nous renvoie des facettes de l’Humain qui nous sont désagréables.  Et bien sûr déjà NOUS AIMER nous-même assez pour désirer connaître la Joie et laisser s’installer dans nos vies les changements bénéfiques. Nous avons la responsabilité de faire la démarche de nous pardonner, de nous regarder avec une lucide bienveillance (le contraste entre ces deux mots peut sembler étonnant et pourtant…). Cela veut-il dire nous résigner? Non mais éclairer la situation, la voir dans son sens d’apprentissage, de leçon de vie, de relation miroir…Et ne pas sombrer dans de vaines culpabilités, ni nous impliquer dans des épreuves de développement personnel qui sont parfois des remèdes pires que les souffrances car tous ces processus se basent sur le passé connu et ne se tournent pas forcément vers l’objectif le meilleur possible, le bonheur illimité qui se trouve dans l’INSTANT.

Aimer ce qui se présente, là devant nous, à toute heure du jour, aimer les gens, les prendre tels qu’ils sont, ceux qui nous accompagnent dans notre quotidien, ceux que nous croisons au hasard de nos pas  comme ceux que nous voyons sur les médias et qui sont « victimes ». Il n’y a pas de règle universelle autre que l’acceptation de Ce Qui Est (dans le Présent)  pour vivre heureux dans ce monde et donner du bonheur aux autres (s’ils en veulent).

La plupart d’entre nous montrent une voie (il ne s’agit pas d’être connu, célèbre ou de donner des conférences et écrire des livres mais de vivre de façon harmonieuse et dans la gentillesse) et ont donc entamé un processus de transformation.

La réparation affective du passé est la première étape, il est impossible de créer une vie heureuse, joyeuse et rayonnante en restant le dos tourné à l’avenir et les yeux rivés sur les blessures du passé. Dans l’extrait de  » L’évangile selon Jésus – Un nouveau testament pour notre époque » que je vous copie ci-dessous, Paul Ferrini nous transmet une clé puissante (bien que délivrée sans complaisance) pour nous extraire de ce passé humain qui nous apparaît douloureux:

« Vos histoires passées renforcent vos peurs et justifient vos rituels d’autoprotection. Dès que vous vous connectez à ce que vous voulez, vous vous connectez aussi aux raisons pour lesquelles vous ne pouvez pas l’avoir. « Je veux quitter mon travail, mais je ne le peux pas. Je veux m’engager dans cette relation, mais je ne le peux pas » Encore et encore, sans cesse l’éternelle quadrature du cercle.

Vous voulez introduire une énergie nouvelle dans votre vie tout en gardant toutes vos vieilles habitudes. Vous voulez changer, mais vous avez peur du changement. D’une certaine façon vous préférez votre souffrance telle qu’elle est, parce que c’est une quantité connue. Vous pensez que changer quelque chose à votre vie pourrait empirer les choses. Vous préférez une douleur connue à une douleur inconnue, une souffrance familière à une souffrance inédite.
Votre ego soutient fermement ce statu quo. C’est pour cela que les projets héroïques qu’a l’adulte spirituel pour changer sa vie sont inéluctablement sabotés par les peurs de l’enfant blessé : celui-ci ne pense pas qu’il est digne d’être aimé et, de ce fait, ne peut s’imaginer une vie sans souffrir.
L’enfant intérieur blessé voit toute promesse de le délivrer de la souffrance comme un piège pour vous faire baisser la garde et vous rendre vulnérable aux attaques.

Ainsi, vos peurs vous empêchent de vous ouvrir à la possibilité d’un changement significatif dans l’existence.
Ce que vous dites vouloir n’est pas ce que vous voulez réellement. L’adulte spirituel et l’enfant blessé sont en désaccord et lorsque ceci se produit, c’est en général l’enfant blessé qui gagne. Malheureusement, cela n’est source de bonheur ni pour l’adulte ni pour l’enfant. Cela n’aboutit qu’à prolonger votre souffrance habituelle, intériorisée.
Dans ce contexte de duplicité où la psyché est en guerre contre elle-même, arrivent alors toutes sortes de réparateurs professionnels: des psychiatres, des conseillers, des prédicateurs, des gourous du développement personnel.

Chacun d’entre eux affirme avoir la réponse mais chacune des solutions proposées ne fait qu’empirer le problème. Lorsque vous pensez qu’il y a quelque chose qui cloche en vous, votre honte et votre sentiment d’indignité sont encore plus forts. Lorsque vous essayez de vous réparer, vous renforcez votre croyance que quelque chose en vous est cassé.
Les réparateurs professionnels croient à vos histoires de cassure et tentent de vous guérir. Si votre histoire n’est pas assez savoureuse, ils vous aident à en rajouter. Il s’agit à présent de grande tragédie, de péché et de salut. Il ne leur vient jamais à l’esprit, ni au vôtre, qu’il se peut que rien ne soit cassé, que peut-être il n’y a rien en vous qui ait besoin d’être réparé. Aucun d’entre vous n’imagine que le seul aspect dysfonctionnel de votre situation puisse être le fait que vous croyiez que quelque chose est cassé, que vous n’aurez jamais ce que vous voulez.
Les problèmes externes que vous percevez sont des projections de ce conflit interne: « Je veux mais je ne peux pas avoir ». Si vous vouliez bien vous permettre d’obtenir ce que vous voulez, ou si vous vouliez bien cesser de le désirer parce ce que vous savez que vous ne pouvez pas l’obtenir, le conflit cesserait. Avoir ce que vous voulez ou accepter que vous ne pouvez pas l’obtenir met un terme à votre conflit.
Cela met aussi fin à votre histoire.

Si vous avez ce que vous voulez, ou si vous vous êtes réconcilié avec l’idée de vous en dispenser, vous n’avez pas d’histoire. Il n’y a pas de dramaturgie de la quête. Pour que cette dramaturgie se poursuive, il est impératif que vous ne trouviez pas ce que vous cherchez. Trouver l’amour, le bonheur, la joie etc. conclut l’histoire. « Et ils vécurent heureux jusqu’à la fin des temps …» Fin de l’histoire. Fin du film.
La vérité, c’est que vous n’êtes pas prêt à renoncer à votre cinéma. Votre histoire fait maintenant partie de votre identité. Votre douleur est une partie intégrante de votre personnalité. Vous ne savez pas qui vous êtes sans elle.
Laisser tomber le cinéma signifie laisser le passé se dissoudre là, tout de suite. Si vous arrivez à faire cela, peu importe ce qui s’est produit par le passé. Cela n’a plus de pouvoir sur vous. Cela n’existe plus. Vous écrivez sur une page blanche.
Cela signifie que vous êtes totalement responsable de ce que vous choisissez. Il n’y a plus d’excuses. Lorsque vous n’interprétez plus votre vie en fonction de ce qui s’est produit hier ou l’année dernière, ce qui se passe est neutre.
C’est ce que c’est. C’est libre de toute charge.
La liberté d’être pleinement présent et responsable à l’instant même est quelque chose d’immense et de terrifiant.
Très peu de gens la désirent. Pour la plupart, le passé est un nœud coulant qu’ils portent autour du cou. Ils tiennent à porter leur croix et leur couronne d’épines.
Vous restez dans tout ce cinéma parce que vous adorez cela. Vous continuez à traîner votre passé parce que vous y êtes attaché. Vous devez donc guérir de toutes les blessures que vous croyez avoir. Peu importe que ces blessures ne soient pas réelles en définitive, car pour vous, elles existent vraiment.
Et donc le film continue. Vous ne pouvez pas dire à quelqu’un qui est en prison et à qui on donne trois repas par jour que la liberté représente sa propre sécurité. Il veut ses trois repas un point c’est tout. Ensuite, il parlera de liberté.
Lorsque vous êtes attaché à ce que vous avez déjà, comment pouvez-vous faire rentrer une nouveauté? Pour introduire quelque chose de nouveau, de frais, d’impondérable, vous devez renoncer à quelque chose de vieux, de rassis et d’habituel.
Si vous voulez que la créativité se manifeste en vous, vous devez renoncer à tout ce qui n’est pas créatif. Alors, dans l’espace créé par ce renoncement, la créativité entrera à flots. Si la tasse est pleine de vieux thé froid, comment voulez vous y verser le thé chaud que vous venez de faire ? Vous devez commencez par vider la tasse. Ensuite vous pourrez la remplir.

Si vous désirez renoncer à votre film, trouvez d’abord ce que vous y avez investi. Que gagnez-vous à ne pas trouver, à ne pas guérir, à ne pas vivre heureux jusqu’à la fin des temps ?
Mais ensuite, soyez honnête. Si vous ne voulez pas traverser votre souffrance, dites la vérité. Dites : « Je ne suis pas encore prêt à traverser ma douleur. Ne dites pas : « Si seulement je pouvais en finir avec elle, mais je n’y arrive pas»
C’est un mensonge. Vous pourriez vous en débarrasser, mais vous choisissez de ne pas le faire. Peut-être êtes-vous satisfait de l’attention que vous obtenez comme victime ? La plupart de ceux qui affirment être sur le chemin de la spiritualité pédalent dans le vide. Ils se trouvent toujours des excuses.
Lorsque vous avez appris à accepter d’être responsable, il n’y a plus d’excuses. Vous ne perdez plus de temps et ne faites plus de promesses de gascon. Vous attendez d’être prêt et vous agissez de manière claire et décisive. Lorsque vous êtes prêt, pas besoin d’hésiter, car agir coule alors de source et les actes ont plus de poids que les mots. »

Extrait de L’évangile selon Jésus – Un nouveau testament pour notre époque

La maîtrise peut être la deuxième étape:

La maîtrise concerne le corps, le mental et les émotions. Ce n’est pas le contrôle ni la volonté farouche car nous focaliser de cette façon, dans l’effort, induirait des blocages « je dois me maîtriser, je veux me maîtriser, il aurait dû se maîtriser » sont des pensées qui rendent le remède plus difficile à vivre que la situation ne l’exige. La maîtrise est davantage issue de la confiance et découle du sentiment que tout va bien, malgré nos peurs et même si nous avons parfois l’impression de ne rien gérer. Pour nous aider, il y a la connexion à notre partie la plus sage, la plus élevée qui nous guide et nous conseille de l’intérieur. Arriver à être uni en soi c’est la maîtrise, c’est aligner les énergies invisibles et la matière, cela prend du temps comme tout… Mais cela se fait naturellement lorsque nous acceptons de nous souvenir que le Divin ou la Source vit en nous et que nous sommes des canaux de Son expression dans la matière. Evidemment l’ego, qui préfère nous mener par le bout du nez et qui se retrouve ainsi dans toute sa force, n’aime pas trop à avoir à devenir un simple instrument du Divin … et pourtant quelle paix, quel bonheur sont à la clé !

L’amour DE SOI est le chemin universel pour chaque être humain, il commence par la connaissance, tous les moyens de nous connaître sont bons. Nous souvenir que nous, en tant qu’Esprit, avons choisi la programmation de notre vie, les qualités et faiblesses de caractère que nous expérimentons et qu’il est donc indispensable de comprendre l’être humain que nous sommes. Le divin nous souffle ses conseils et nous inspire mais il ne peut pas vivre l’expérience à notre place. Car il est « trop grand » en somme, il est au-delà de notre psyché et de notre corps mais les expériences que nous faisons dans la matière enrichissent le divin, l’ego est notre support, nous avons à apprendre ses rouages et ses pièges? D’où cet intérêt de faire connaissance avec le soi humain, la personnalité. J’ai erré  moi-même mes trente cinq premières années avant de trouver dans l’astrologie l’outil qui me convenait pour apprendre à connaître l’Humaine en moi et j’aime bien m’y référer encore car j’ai de la Joie à découvrir ses informations multiples. Mais il y a énormément d’autres façons d’apprendre à se connaître et chacun a la sienne, et parfois pas besoin d’outils ni de techniques, la simple observation de nos pensées, de nos paroles, de nos réactions et de nos ressentis, sentiments ou ressentiments nous donne bien des pistes pour nous transformer sans douleurs. Lorsque nous les avons identifiées nous pouvons nous apprivoiser en tant qu’humain et commencer à aimer patiemment et avec gentillesse cet être vulnérable et fragile émotionnellement que nous incarnons. Et en même temps nous devenons alors capable de voir notre frère, notre sœur humains comme nos égaux, ils deviennent alors pleinement nos amis, nos alliés et nous pouvons coopérer avec eux à la création d’un nouveau monde plus éclairé et plus conscient.

 

CaptureBien que j’aie aujourd’hui l’esprit à philosopher je vous invite à ne rien prendre trop à la lettre ni de façon trop sérieuse et à regarder, pour conclure dans la légèreté, cette page  qui nous montre en dessin comment être dans l’unité ou « non dualité » par la méditation tout simplement… La « non-dualité » pour obtenir le silence intérieur.

 

C’est avec une joie immense que je vous retrouverai très vite pour la Nouvelle Lune au sein de ce cycle en Lion dont je sens déjà les chauds rayons dans mon Cœur.

Michka

 

40 réponses

  1. Absolument, formidablement bien exprimé , bravo Michka pour la justesse des mots…c est la la VRAIE LIBERTÉ ..je teste tout cela depuis quelques temps et je retrouve l oxygène d Amour.., le lâcher prise sur les tensions, je vis ……légère … .!.
    Infiniment merci de nous guider dans l Amour, je vous embrasse avec tendresse. Julia

  2. merci Michka, apaisée, donc apaisant, beaucoup d’Amour exprimé, donné, partagé, il est doux de vous lire, très enrichissant. Merci, merci!

  3. Bonjour, merci d’avoir publié ce texte….
    dans quel chapitre du livre de Ferrini se trouve ce passage ?. J’ai ce livre et aimerais m’imprégner de ce passage.
    Merci d’avance pour votre reponse.

    1. Marie,
      Je suis désolée de ne pouvoir vous répondre avec précision. Je recopie des phrases ou des pages que je garde, pour citation, mais je revends ou je donne tous mes livres après lecture, ils circulent et je n’ai plus celui-ci depuis au moins trois ans. Je ne voudrais donc pas vous induire en erreur car je n’ai pas en mémoire ni noté la référence du chapitre de cet extrait.

      Mais je suis confiante, quand ce sera le bon moment pour vous, vous retrouverez ce passage dans votre propre livre !

      Bien à vous,
      Michka

  4. … S’aimer patiemment et avec gentillesse …
    OUI, 1000x OUI Michka !!

    Cet extrait de « L’évangile selon Jésus » est particulièrement percutant ! Quelle justesse !!
    Il est si doux et reposant de s’abandonner à la tendresse pour soi-même, à la bienveillance qui console et apaise tant soi que le regard que l’on porte sur l’extérieur …
    Cessez le combat, même si çà ne dure qu’un instant, c’est un instant de Grâce … qui laisse une trace permanente.
    Soyons Confiant en nous, nous savons faire.
    Je vous embrasse Michka.

  5. Au moment où je lis votre message, Michka, les chiens du voisins continuent inlassablement à aboyer… permanence de l’aboiement, impermanence des bonnes choses ????? Comment appliquer parfois le « j’aime mon voisin » quand lui n’a aucune conscience de ce que les autres subissent… Pas facile…

    1. Bonsoir Marie, non ce n’est pas facile d’aimer tout ce qui se passe autour de nous et un voisin dont on n’a pas l’impression qu’il nous respecte.
      Ce qui est important à entendre c’est que nous attirons à nous des êtres qui nous font voir où nous en sommes car ils sont en résonance avec nous. Plus nous transformons nos ombres, nos peurs, plus nous faisons place nette et table rase de toutes nos petites vexations et mauvaises humeurs, plus l’Amour grandit en nous et peut rayonner.
      Mais on ne peut pas aimer et aider tout le monde. Il est juste de choisir d’aider et de vibrer dans les fréquences de ceux qui veulent être aidés. Accorder votre attention aux chiens qui aboient vous conduit à l’énervement alors restaurez la paix et la joie en vous en allant vous promener ou en lisant un livre dont les mots vous apaisent. Vous cultiverez ainsi la paix et la sérénité au lieu de focaliser sur ce qui crée le stress.
      Arrivés à un certain stade de sérénité et de tendresse pour nous-même et de compassion pour autrui, nous n’avons plus ce genre de voisinage car nous attirons alors les vibrations les meilleures des êtres qui sont autour de nous, y compris celle des chiens. La tranquillité ne peut se manifester à nous que si nous sommes profondément en paix avec nous-mêmes.
      Cela paraît « magique  » – dit comme ça – mais c’est seulement la mise en œuvre de la loi de la résonance.

      Tous mes voisins irrespectueux de la nature, de la paix et de l’harmonie, ont progressivement quitté le quartier où je me suis installée. Je n’ai rien souhaité à ce sujet, j’envoyais de l’amour à leur famille chaque fois que j’entendais des cris et des disputes violentes chez eux. Ils n’ont pas peut-être pas pu recevoir cette vibration mais ils n’ont pas pu rester non plus car cela ne correspondait pas à la leur.
      L’important c’est que NOUS gardions notre élévation de conscience et notre ouverture du cœur pour ensemencer le monde d’amour, de proche en proche, si telle est notre intention.

      Tout un chemin…

      Bien à vous,
      Michka

      1. Merci pour cette réponse qui confirme ce que je pensais mais que j’ai finalement du mal à mettre en application car je vis une période de frustrations… Je cherche l’apaisement et votre message est une bouée que je ressortirai dès que j’en aurai besoin. Merci beaucoup Michka…

  6. Oui, cesser de chercher partout tout le temps, comment trouver la joie d’être moi et rien d’autre, pour ce qui me concerne !
    Je m’épuise en furetant dans toutes les directions …. Ce message est un grand coup de frein, merci vraiment. A l’évidence je dois arrêter « ça  » .
    Tendresse Michka.

  7. Merci Michka pour cette publication toujours si juste !
    A méditer longuement pour moi.

    Mille bises tendres,

    Patricia (ou Françoise … comme tu le souhaites !)

  8. Ce texte a été écrit pour MOI !!!
    JE suis sûre apres avoir lu les commentaires que nous sommes plusieurs a avoir eu cette réaction.
    J’ etais précisément toute cette semaine dans ce questionnement douloureux « pourquoi est ce que je n’arrive pas a me sortir de cette situation relationnelle si pénible  » la lecture de ce texte m’apporte un élément de réponse très précis. A moi maintenant de faire en sorte que……
    Merci merci Michka pour ce judicieux partage. Je vous embrasse chaleureusement.

  9. Merci Michka pour ce magnifique texte ainsi que celui de Ferrini.

    oser changer en agissant, oser l’amour, le donner et le recevoir, comme celà est simple, naturellement simple… il faut juste revenir au naturel et nous « déformater ».

    Je vous embrasse de tout coeur

    MIJO

  10. J’attendais un signe hier puis j’ai vaqué à mes occupations et… ce matin je découvre ton partage tout en résonance avec moi même 😉

    Tu me combles à chaque nouveau partage Michka.

    Je t’m

    Merci

  11. Mille « merci » Michka ! Ça fait tellement de bien de lire ces mots si vrais et tellement au bon moment !

    Belle journée et à bientôt pour échanger en direct. Chaleureusement,

    Jocelyne

  12. Bonjour Michka, C’est toujours avec joie que je lis tes messages qui sont toujours aussi vrais,pertinents et qui raisonnent pleinement avec ce qui se passe ou ce que l’on vit dans le moment.Chaque fois que je peux j’apporte mon modeste don, pour tout ce que tu nous offres et pour que ce blog continue d’exister. Gratitude à toi Michka

  13. Gratitude Michka pour cet article qui résonne et raisonne fort pour moi. Je suis bien en accord avec tout ce qui est écrit.
    Belle journée

  14. Merciiiiiii Merveilleuse Michka !!
    Je viens de vivre une semaine bousculante…..enfin samedi j’ai compris que c’est moi qui générait tout ce qui m’arrivait de désagréable!!
    ton texte arrive à point nommé!!
    C’est fabuleux aujourd’hui nous avons les réponses très rapidement.Nous sommes vraiment aidés…….
    De cœur à cœur.

  15. Je rajouterais qu’il me semble que Jésus n’était pas dans la haine mais dans la colère lorsqu’il parlait ainsi, ce qui est bien différent.

  16. Bonjour,
    … »si vous vouliez bien cesser de le désirer parce que vous savez que vous ne pouvez pas l’obtenir, le conflit cesserait… »
    n’est ce pas là toute la difficulté, réfléchir à mon « désir d’obtenir », et l’ajuster à ce que je « sais » pouvoir obtenir, mais c’est ce « savoir » qui est compliqué, même si je suis dans l’amour plutôt que guidé par mon seul égo…méditer plus souvent pour rejoindre ce « je sais » ce que je veux et « je sais » ce que je peux…oui c’est difficile pour moi de me demander si je suis dans le trop ou le pas assez, trop proche, trop loin, trop égoiste, pas assez altruiste, la bonne distance à rechercher encore et toujours. Merci Michka pour le partage de ce texte.

    1. Ah, j’avais éteint l’ordinateur, et puis vos interrogations me sont revenues et je trouve difficile de ne pas partager des choses qui ont marché pour soi, même si comme dit Michka, nos chemins sont tous différents.
      Peut-être laisser tomber le « désir ». Désirer, c’est quand même subir… Subir un manque, vivre avec, le valider, et c’est subir en plus le fait de ne pas savoir si nos désirs sont justes et raisonnables… tout un programme de tensions ! (trop, pas assez… vos questions, je les connais bien, je l’ai vécu. C’est la torture du mental raisonnable, victime et coupable à la fois).
      Pour ma part, ce qui m’a aidé, c’est une phrase entendue un jour : « avoir envie de ses besoins, c’est la clé ». J’ai essayé de ressentir quelle différence cela faisait de penser, choisir, ainsi (faire un tri entre des besoins par le biais de la question : est-ce que j’en ai envie ou pas ?), et finalement cela m’a fait penser plus sérieusement à mes besoins. Et oui, de certains besoins, j’avais vraiment envie, parce que je me suis rendue compte qu’ils correspondaient à une globalité de moi, des valeurs que j’avais envie de mettre en pratique dans ma vie, et par là-même, cela me comblerait. Cela a remis donc de l’enthousiasme et surtout de la confiance (et du coup, même des choses qui ne me semblaient pas envisageables jusque là sont venues s’imposer joyeusement), et mieux, cela a fait un tri, un ‘tri’ se fait tout seul, et on a l’impression de ressentir l’authentique de soi, et les besoins s’emboîtent les uns dans les autres car on s’aperçoit qu’ils ont la même essence (cela synthétise et raccourci la « liste » qu’aurait fait notre pur mental tout seul).
      Après, je pense qu’il est bon de s’en tenir à la confiance qu’on peut vraiment, oui, car ces besoins là, dont on a envie, sont authentiques, et si je suis authentique avec moi-même, il n’y a pas de raisons pour que je ne puisse pas y arriver. Cette confiance c’est le guide. Mais ensuite, même si on pose des actions, il ne faut pas avoir d’exigence sur la manière dont les choses se feront, car, il me semble, que si on peut choisir l’objectif, on ne peut qu’orienter la manière dont les choses de feront, mais pas les planifier de manière un peu rigide et figée. Il faut rester souple sur le comment, si on veut bien profiter des surprises de la vie. Parfois, souvent… on se rend compte,qu’on a finalement satisfait un besoin pas du tout de la manière qu’on avait envisagée, que la vie nous y a répondu à mesure du parcours, parce qu’on a laissé le champ pour cette création là. C’est bien (« si je sais exactement ce que je vais faire, à quoi cela sert de le faire ? » je crois que c’est une phrase, approximative, de Picasso).
      Voilà, après, faut essayer, il n’y a que ça !
      (et essayer n’existe pas, essayer, c’est déjà faire).

      1. bonjour

        j’aimerais ajouter une autre citation de Picasso à ce message de Tia :

        « Je ne cherche pas, je trouve. »

        et merci au passage à Michka pour cette publication très inspirée

        bien à vous

        Jean

      2. bonsoir

        à la relecture il m’est agréable d’ajouter encore que l’anagramme de

        « je trouve »

        c’est :

        « je ouvert »

        cqfd ~ jbt

      3. Effectivement très parlant… L’art de l’ouverture et de la liberté, à la fois. Je pensais justement hier que le désir pouvait en fait être une fermeture.
        Merci. Sensible à ce genre de pensées/paroles simples, synthétiques, et du coup assez puissantes.

      4. ben oui Tia, forcément, quand on zoome via le désir on focalise et donc occulte le reste autour… l’amour embrasse tout, voire le délivre, de soi surtout… d’où l’ouverture, nécessaire, sinon on patauge encore dans sa zone restreinte, celle des attentes, et blablabla

        des bises ~ Jean

  17. merci Michka pour éclairage tu es comme un phare dans la mer de mes émotions!! Nous sommes tous quelque part voisins et je suis heureuse de t’avoir comme voisine!!

  18. Le moment présent, l’acceptation de l’étape où j’en suis et la simple curiosité de la suite : vivre cela à fond (sincèrement, profondément, simplement) en se disant simplement que c’est passionnant, ni plus ni moins.
    La « quête » n’est ainsi pas dramatique (il n’y a plus à être en tension avec un passé, des schémas du passé, ni en tension vers l’objectif un futur de « quand je serai guéri, quand je serai meilleur »).
    En luttant contre quelque chose, on continue d’alimenter, de nourrir, de valider ce quelque chose, cela n’a pas de fin, et on passe à côté de l’état présent, qui recèle pourtant d’innombrables richesses, qu’il n’y a qu’à valider en soi, en leur laissant la place d’exister. C’est là que pour ma part je place la relation simple à la vie, la belle simplicité (qui n’est pas la facilité…).
    Je pense aussi aux parasitages (de toutes sortes : voisins envahissants, discours, pensées ou émotions des autres, allergies et intolérances, mental trop présent…). Quand on se sent parasité c’est souvent qu’on n’est pas vraiment là soi-même, bien en soi, présent au moment, une sorte de place laissée (la nature a horreur du vide, et tout naît du vide). Etre présent et créer, du moins être dans cette attitude de laisser venir l’énergie de liberté de création, sans arrières pensées, sans volonté de lutter CONTRE, mais de créer POUR. Faire de la place pour cela ne se fait pas je crois, ni en se résignant et subissant, ni en luttant (tout cela c’est la facilité, le chemin qui semble a priori le plus court, mais qui crée sans arrêt du parasitage), mais en étant bien présent et se rappelant qu’on est créateur (et cela, c’est la belle simplicité).
    Passionnant, la vie est un mystère d’équilibres, à expérimenter.
    Jupiter arrive en Balance. J’ai l’impression qu’on pourra profiter de belles expériences d’équilibres, de complémentarités. Cela me donne envie de lire peut-être un peu de passages du « Livre des transformations », d’aller voir du côté du Tao, juste pour l’inspiration.
    Merci Michka pour votre article, on sent votre sincère volonté de faire juste du bien aux gens.

    1. ci-dessus, à … et se rappelant qu’on est créateur ,
      je rajoute : car, en se rappelant, prenant conscience, qu’on a déjà TOUT en soi, une chose et son « contraire », qu’on peut nourrir et laisser émerger et vivre, on devient créateur (c’est l’impact de nos pensées sur la création de nos vies). Cela a l’air magique effectivement (« loi » de résonnance) mais dans une attitude modeste, cela s’expérimente bien, et cela fait tellement de bien (et quand la simplicité devient alors parfois facile, alors là, c’est la joie de chez joie !).

  19. Merci Tia de cette « réponse »,
    je vais prendre soin de mes besoins c’est entendu.
    C’est étonnant comme cette phrase de Picasso que je connaissais dans un autre contexte prend un tout autre sens aujourd’hui.
    J’aime cette impression de découvrir un nouveau sens derrière un mot ou une phrase familière…

    1. juste une tite rectif : quand j’ai écrit « cela me comblerait », c’était écrit trop vite, je pense que ce n’est pas ma pensée juste, je pense que penser en terme de besoins justes, càd dont on a envie parce qu’ils ns correspondent, ce n’est pas penser à ce qui nous comblerait, car ce qui nous comble change, avec le temps… mais c’est penser plutôt aux CONDITIONS, contextes, de vie qui permettraient d’être, de rester, authentiques, en paix, et ainsi tjs… créatifs… (car un but fixé enfin atteint, et c’est la panne de motivation et d’inspiration qui s’annonce, et même la panne de satisfaction).
      Maintenant, chut ! je me tais, parce qu’aussi, le silence est d’or (et sans l’or du silence, qui permet la ressource et le ressenti avant l’action, on ne fait sans doute pas grand chose dans la vie).

  20. Bonjour Michka. Ton billet tombe à pic. Pressée de te retrouver tres vite pour la nouvelle lune. Amitiées Michka. Belle journée

  21. Bonsoir Michka,

    Je pensais en conduisant ma voiture aujourd’hui que je n’étais pas en paix avec moi-même, que donc mes pensées n’étaient pas assez pacifiques envers les voisins par exemple, énervants dis- je parfois….Alors qu’ils ne sont la cause de rien! J’essaie de rectifier, de m’améliorer naturellement, en douceur et reconnaissance envers la vie…

    Merci pour ces lignes qui me font du bien ce soir….

  22. Juste merci…. une fois de plus… ce texte résonne de manière très forte pour moi. Je découvre aussi avec intérêt l’évangile selon Jésus que je ne connaissais pas. Je vous embrasse chaleureusement !

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